LES ETUDIANTS DE L’UNIVERSITE MARIEN N’GOUABI DE BRAZZAVILLE SENSIBILISES SUR LE PROGRAMME GMES &AFRICA

La Commission internationale du Bassin Congo-Oubangui-Sangha (CICOS) a organisé une journée porte ouverte à l’endroit des étudiants et chercheurs en hydrologie, climatologie, sciences physiques et mathématiques, afin de mieux communiquer sur ses actions. La présentation s’est déroulée en présence du vice-président chargé de la Recherche et de la Coopération à l’Université Marien-Ngouabi, Mr Attiba yeba.

Devant l’assistance, le coordonnateur du programme GMES & Africa, Georges Gulemvuga, a donné un aperçu général du programme qui est un système d’observation de la terre conçu pour répondre aux besoins du continent en matière de gestion de l’environnement et d’atténuation des effets du changement climatique afin de garantir la sécurité des personnes et de leurs biens. « C’est une initiative centrée sur l’utilisateur qui fournit des services pour l’environnement et la sécurité. Elle fournit des informations aux décideurs politiques, aux scientifiques, aux institutions et au public », a précisé, dans son exposé, le coordonnateur du programme GMES & Africa, Georges Gulemvuga.
S’adressant aux étudiants et chercheurs en hydrologie, climatologie, sciences physiques et mathématiques invités, le coordonnateur du programme GMES & Africa a présenté les résultats déjà obtenus afin que ces derniers puissent s’imprégner, a-t-il dit, de la portée des activités menées par GMES & Africa : en Afrique centrale, il y a la Cicos en ce qui concerne la thématique au niveau de l’eau et l’AGEOS au niveau du Gabon qui suit le volet suivi des zones inondées. « Il s’agissait également de renforcer les capacités des Etats africains dans l’octroi des données satellitaires, de les transformer en information et de comment utiliser l’observation de la terre pour pouvoir obtenir les informations fiables qui peuvent être utilisées dans plusieurs domaines, plusieurs secteurs et impulser le processus de développement du continent africain. Chaque région de l’Union africaine développe son projet », a-t-il commenté.
 Signalons qu’après ces communications, il s’en est suivi un jeu de questions-réponses, au cours duquel chacun a pu trouver une réponse satisfaisante par rapport à la question posée.
 

20.10.2021